Poème - 15/08/09

Maya voilà un an que l'on t'a recueillie
Ath était ton refuge, on t'a trouvée ici
Y cherchant un havre de paix
Alors nous t'avons prise sans hésiter

Calypso, nous te connaissons à peine
Arrivée il y a peu de Bruxelles
Laissée à l'abandon par d'ignobles personnes
Y avait-il un paisible avenir pour toi
Par le plus grand des hasards
Se sont croisées nos destinées
Oublie le passé, maintenant tu es aimée

Mes deux puces, vous remplissez ma vie de bonheur
J'aime vous cajoler, vous couvrir de douceur
Jamais vous ne disparaitrez
Vous resterez à jamais dans mon cœur