lundi 26 avril 2010

Vieux poème...03/04/06

Tu savais à quel point j'avais peur, tu n'as pas continué
Tu savais à quel point j'en avais horreur, tu as voulu me faire changer
Tu savais à quel point j'avais honte, tu m'as donné confiance
Tu savais à quel point j'en tremblais mais je souffre de ton absence
Si seulement tu savais à quel point tu me manques
Si seulement tu savais que je veux te serrer
Si seulement tu savais que je veux t'embrasser
Si seulement tu savais que je veux te toucher

Si seulement je pouvais être à tes cotés
Si seulement je pouvais sentir ton souffle chaud
Sur mes joues, dans mon cou, dans ma bouche, partout
Te parler, te câliner, te voir rire et sourire

Je t'imagine, allongé dans ton lit
Et j'aimerais arriver sans faire le moindre bruit
Me faire une petite place sous les couvertures
Me blottir contre toi, entendre ton coeur battre
S'il te plait mon amour reviens vite vers moi
Je me sens seule et froide, et j'ai besoin de toi
La porte est grande ouverte, il te suffit d'entrer
Glisse toi dans le lit, et dormons enlacés

Si seulement je pouvais être à tes cotés
Si seulement je pouvais sentir ton souffle chaud
Sur mes joues, dans mon cou, dans ma bouche, partout
Te parler, te câliner, te voir rire et sourire

Si seulement tu savais à quel point tu me manques
Alors immédiatement tu me rappellerais
Je sais que des heures on pourrait rester
Au téléphone à s'écouter et à s'aimer
J'ai tant envie de t'entendre me dire "je t'aime"
Même si je suis gênée je ne peux m'en passer
Tu me donnes l'inspiration pour écrire mes poèmes
Grâce auxquels je peux te dire mes pensées

Si seulement je pouvais être à tes cotés
Si seulement je pouvais sentir ton souffle chaud
Sur mes joues, dans mon cou, dans ma bouche, partout
Te parler, te câliner, te voir rire et sourire

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