Ali a mal dormi
Elle a pleuré toute la nuit
Elle souffre, désespoir
Elle souffre, à vous de voir
Ali est épuisée
Elle n'a cessé de songer
A tout ce qu'elle subit
A sa peur de la vie
Et Ali se demande
Si tout ça ressemble
A la fin d'une vie
De bonheur et d'envie
D'amour et de passion
De tendresse, d'affection
Elle semble résignée
Tout ça, c'est du passé
jeudi 13 février 2014
mercredi 12 février 2014
12 févier 2014
Si cela n'existait pas
Pourquoi vivre sous le même toit
Peur du silence, de la solitude
Moi j'en ai déjà l'habitude
Et si ça n'existait pas
Pourquoi ces gestes sans saveur
Sans signification, sans odeur
Comme une hypocrisie
Dont dépend la survie
Pourquoi tant d'efforts
Pour un faux trésor
Si ça n'existe pas
Est-ce que des gens y croient
Moi, avant, j'y croyais
Mais tout s'est envolé
J'étais constamment en quête du Graal
Pour mon âme, ce fut fatal
Car ça, ça n'existe pas
Et c'est là que blesse le bât
Si longtemps j'y ai cru
Et du coup me suis perdue
Car non, ça n'existe pas
C'est un leurre, un mensonge
Une horreur quand on y songe
Comme s'il n'y avait d'autre choix
Que souffrance et désespoir
J'ai eu tort d'y croire
Car ça n'existe pas.
Pourquoi vivre sous le même toit
Peur du silence, de la solitude
Moi j'en ai déjà l'habitude
Et si ça n'existait pas
Pourquoi ces gestes sans saveur
Sans signification, sans odeur
Comme une hypocrisie
Dont dépend la survie
Pourquoi tant d'efforts
Pour un faux trésor
Si ça n'existe pas
Est-ce que des gens y croient
Moi, avant, j'y croyais
Mais tout s'est envolé
J'étais constamment en quête du Graal
Pour mon âme, ce fut fatal
Car ça, ça n'existe pas
Et c'est là que blesse le bât
Si longtemps j'y ai cru
Et du coup me suis perdue
Car non, ça n'existe pas
C'est un leurre, un mensonge
Une horreur quand on y songe
Comme s'il n'y avait d'autre choix
Que souffrance et désespoir
J'ai eu tort d'y croire
Car ça n'existe pas.
lundi 3 juin 2013
Citadelle de Namur, 31/05/2013
J'ai eu l'occasion d'aller à la citadelle de Namur et d'y faire quelques photos vu qu'il ne pleuvait pas. Voici ma petite sélection.
lundi 13 mai 2013
Un jour, un écrit 13 - 13 mai 2013
Aujourd'hui, j'ai vu Hypocrisie. Celle qui arrive en souriant quand Honnêteté s'est éloignée. Elle sait se faire discrète, elle est fourbe. Mais elle oublie Curiosité, bien aidée par Invisibilité. Ainsi, on peut ne pas louper une miette de sa langue de vipère. Hypocrisie critique Générosité et Bon Coeur, si bien que même Curiosité préfère ne plus écouter. Parfois, il arrive qu'Hypocrisie s'allie avec Egocentrisme. Quand c'est ça, il faut fuir, car bien que cachant habillement son jeu aux yeux du plus grand nombre, elle en devient vite pénible dans la vie plus privée. Hypocrisie aime beaucoup Arrogance. A deux, ells critiquent qui passe, écoutées par Indifférence qui hoche la tête, Naïveté qui boit les paroles, et Fourberie qui, elle aussi, ne cesse de cacher son jeu. Tout ça, Curiosité ne l'a plus supporté, et s'est bouchée les oreilles. Invisibilité était-elle partie? Pour moi, oui, mais certainement qu'Hypocrisie et ses amies la voyaient encore. Et moi, aujourd'hui, malgré mes envies, j'ai vu Hypocrisie.
Poème - Avril-mai 2013
Huit mois déjà mais rien à faire
Je pense à toi, ma gorge se serre
Et mes larmes montent aux yeux
Triste que tu sois aux cieux
Le temps passe mais sans toi
Je suis triste malgré les joies
Et dans le train j'écris
Sur celui que je veux en vie
Tu me manques, je ne sais pourquoi
Tu étais un deuxième père, beau-papa
La vie continue, sans gai luron
On fait ce qu'on peut, sourions
Je pense à toi, ma gorge se serre
Et mes larmes montent aux yeux
Triste que tu sois aux cieux
Le temps passe mais sans toi
Je suis triste malgré les joies
Et dans le train j'écris
Sur celui que je veux en vie
Tu me manques, je ne sais pourquoi
Tu étais un deuxième père, beau-papa
La vie continue, sans gai luron
On fait ce qu'on peut, sourions
lundi 22 avril 2013
Un jour, un écrit 12 - 22 avril 2013
Honte, c'est ce que je ressens
Or je ne devrais pas
Mais cette fierté d'être française
Oubliée ou jamais vue
Partie avec ceux dans la rue
Hurlant à qui voudra écouter
Outrés devant la loi
Bien leur en fasse, quoique
Il faut voir où on vit
Et non ce qu'on veut voir
France qui crie pour des idées, mais
Rien ne vaut moins la peine que ça
Alors que des gens crèvent de faim
Nous, citoyens, aux idées vides
Crions pour qu'on entende
A quel point nous pensons, réfléchissons
Il faut que le monde sache, mais
Sots, c'est ce qu'on est, finalement
Et demain, malgré nos actes, notre quotidien sera le même
Cette image de la France me fait honte, si honte que j'en deviendrais belge
La France, le pays où on n'a pas compris ce dont on a réellement besoin pour vivre, donc ce pour quoi il faut se battre.
Or je ne devrais pas
Mais cette fierté d'être française
Oubliée ou jamais vue
Partie avec ceux dans la rue
Hurlant à qui voudra écouter
Outrés devant la loi
Bien leur en fasse, quoique
Il faut voir où on vit
Et non ce qu'on veut voir
France qui crie pour des idées, mais
Rien ne vaut moins la peine que ça
Alors que des gens crèvent de faim
Nous, citoyens, aux idées vides
Crions pour qu'on entende
A quel point nous pensons, réfléchissons
Il faut que le monde sache, mais
Sots, c'est ce qu'on est, finalement
Et demain, malgré nos actes, notre quotidien sera le même
Cette image de la France me fait honte, si honte que j'en deviendrais belge
La France, le pays où on n'a pas compris ce dont on a réellement besoin pour vivre, donc ce pour quoi il faut se battre.
lundi 15 avril 2013
Un jour, un écrit 11 - 15 avril 2013
Ah ! quel immense bonheur de sentir ce doux vent sur mon visage. L'hiver fut si long, si rude, que j'en étais arrivée à oublier cette sensation pourtant si délicieuse. Telle une caresse, la brise souffle sur ma joue. Elle annonce la venue du printemps. Enfin, nous pouvons faire nos adieux à tous ces vêtements si lourds à porter, si lourds à supporter qu'on se sent privé de liberté. Liberté enfin retrouvée lorsque nous abandonnons bonnets et mitaines, tricots et autres habits censés nous tenir au chaud, mais refroidissant nos coeurs. Adieux, silence de la nature, tu fais place au chant des oiseaux, aussi heureux que nous de l'arrivée des beaux jours. Adieux, ciel gris ou bleu comme le froid, le soleil prend finalement ta place, et qui ne l'accueille pas à bras ouverts, tout comme nous t'avions accueilli, hiver, lorsque tu annonçais Noël? Que dure le printemps.
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